De Batterie Faible, brut et introspectif, à BĒYĀH, spirituel et mature, Damso construit une œuvre en perpétuelle transformation. Une légende qui se tisse album après album, entre musique et style.
Avec la création de sa marque Rosemerta, Damso officialise sa vision : la mode n’est pas un accessoire, mais un prolongement de sa musique. Une manière de porter son identité au-delà du son.
BATTERIE FAIBLE : LES DÉBUTS BRUTS
Musicalement, Batterie Faible est une plongée directe dans son intimité. Un album cru, sans filtre, où Damso livre ses cicatrices, ses contradictions, ses vérités.
Côté style, il se cache presque derrière un streetwear minimaliste : hoodies sombres, jeans simples, bombers, sneakers noires. Une allure brute, sans artifice, comme un prolongement de sa sincérité.
IPSÉITÉ : L’AFFIRMATION
Avec Ipséité, Damso affirme son identité. Il explore des flows plus fluides, se fait plus introspectif, plus poétique. Il commence à questionner son image, sa place dans le monde.
Visuellement, il gagne en assurance. Total looks noirs plus sophistiqués, vestes structurées, lunettes fumées. Sa silhouette devient un symbole : mystérieuse, affirmée, magnétique.
LITHOPÉDION : L’ARTISTE EXPÉRIMENTAL
Lithopédion marque une étape d’exploration totale. Il s’aventure sur de nouvelles textures musicales, ose des structures inattendues. Un album exigeant, déroutant, fascinant.
Son style se fait plus audacieux : silhouettes oversize, superpositions, coupes déconstruites. Il commence à jouer avec le vêtement comme un outil artistique, à le transformer en message.
QALF INFINITY : LE DAMSO LIBRE
Avec QALF Infinity, Damso s’affranchit de tout. L’album se veut plus universel, plus spirituel, tout en restant intensément personnel. Il explore les contrastes, la douceur, la force, l’amour.
Côté style, il adopte des tenues plus fluides, plus amples, inspirées d’un minimalisme quasi méditatif. Un Damso qui s’allège visuellement, en quête d’équilibre.
J’AI MENTI : LE JEU DES MASQUES
J’ai menti explore les illusions, la multiplicité des identités. Musicalement, il brouille les pistes, joue avec les attentes.
Son image reflète cette dualité : pièces oversize, silhouettes sombres, looks presque théâtraux. Chaque tenue est un masque, une question posée au public.
BĒYĀH : LA MUE SPIRITUELLE
Enfin, BĒYĀH dévoile un Damso plus apaisé, plus connecté à lui-même. Les productions sont plus aériennes, plus introspectives, ses textes se tournent vers la paix intérieure.
Son style s’épure : tons naturels, matières fluides, coupes minimalistes. Une silhouette mature, presque sage, qui accompagne parfaitement cette quête de profondeur et de spiritualité.
Toujours imprévisible. Toujours en avance. Toujours Damso.
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Signé VYB.