La Fashion Week printemps-été 2026 n’était pas seulement un défilé de silhouettes, mais un véritable bal d’icônes. Sur les premiers rangs comme en backstage, une chose était claire : la frontière entre musique, mode et influence n’existe plus.
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Les rois et reines de la pop culture
Beyoncé et Jay-Z ont fait une apparition remarquée, entre élégance sobre et puissance tranquille, incarnant cette idée que le style peut être un statement silencieux. Autre duo iconique : Rihanna et A$AP Rocky. Toujours à l’avant-garde, toujours là où ça compte.
Entre maisons de luxe et rap game
Louis Vuitton, Dior, Kenzo : les maisons ont aligné des front rows dignes d’un lineup de festival. SDM et Réma, visages du rap et de l’afrobeats, étaient là, preuve que le luxe parle désormais toutes les langues du globe. Mention spéciale à Fally Ipupa, silhouette léchée et charisme intemporel.
Quand les labels deviennent lifestyle
Amiri a fait défiler plus que des vêtements : un lifestyle. Future, lui, a prouvé qu’un hoodie bien coupé peut avoir autant d’impact qu’un trench Dior. L’attitude prime, le reste suit.
Une génération visuelle
Cette saison l’a confirmé : le vrai spectacle n’est plus uniquement sur le catwalk. Il est dans les gradins, sur les feeds, dans les stories. Une mode incarnée, influencée, remixée. La SS26 est un moodboard vivant.