Ce lundi, Simon Porte Jacquemus a une nouvelle fois brouillé les frontières entre mode, art et culture populaire. Pour sa collection printemps-été 2026 intitulée « La Casa », il a transformé l’Orangerie du Château de Versailles en catwalk poétique, baigné de blanc et de lumière naturelle. Mais au-delà des vêtements, ce sont les invités qui ont attiré tous les regards – en particulier ceux issus du monde de la musique.
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Parmi les personnalités les plus photographiées :
Asake, en ensemble monochrome ultra pointu, incarne l’élégance afrobeats nouvelle génération.
Rema, à la fois discret et charismatique, confirme son statut d’icône mode au-delà de la scène musicale.
Tiakola, en pleine ascension dans le rap français, affirme une image léchée et sophistiquée.
Stormzy, tout en sobriété mais toujours imposant, impose un style british assumé.
Aya Nakamura, fidèle à elle-même : magnétique, moderne et toujours impeccablement stylée.
Ce casting de stars n’est pas un hasard. Il reflète la volonté de Jacquemus de parler à une génération connectée, plurielle, nourrie de références musicales autant que visuelles. Ici, le front row devient une playlist vivante, une extension naturelle du storytelling de la marque.
Jacquemus ne se contente plus de vendre des vêtements : il inscrit sa mode dans un récit global, où la pop culture est centrale. Et si la présence de ces artistes donne du poids au show, c’est aussi parce qu’ils sont, chacun à leur manière, des ambassadeurs d’une esthétique puissante et actuelle.